Une page permettant de comprendre l'intérêt de l'usage des bons pronoms pour les bonnes personnes.
Parce que tout le monde n'est pas il ou elle, et qu'il n'y a pas de raison d'utiliser le mauvais pronom.
Il y a dans cet article quelques notions franchement intéressantes, développées avec justesse.
Il est bien cet article ! Personnellement, j'ai du mal avec le point médian (la typographie tout ça), mais aucun problème avec l'idée qu'il véhicule de rendre visible ceux que mes ancêtres voulaient cacher.
Un article follement intéressant, qui construit une étude sociologique des pin-ups de vestiaire. Il y a dans cet article tout un tas de trucs réellement fascinants, c'est vraiment à lire.
Ca a l'air très bien ce bouquin. Et franchement, ce qui y est dit est aussi juste que dur.
Je ne suis pas totalement d'accord avec l'article, (et je ne vais pas spécialement chercher à défendre ma position). Mais il est très intéressant d'une part pour l'aspect politique, et d'autre part pour l'aspect sémantique, de la lutte féministe.
Un outil intéressant, qui révèle que je suis beaucoup trop peu de femmes.
Il va sans doute être temps que je m'y mette, mais j'ai quand même beaucoup de mal ...
C'est une question frappante : on pense que l'homme a toujours dominé culturellement la femme parce que les premières études archéologiques ont été faites par des hommes ayant cette grille de lecture.
Il y a dans cet article deux idées fascinantes. La première évidente est l'intégration des contraintes externes dans nos comportements. La seconde moins évidente, mais plus forte, est le fait qu'il n'existe en réalité pas d'identité de genre, mais uniquement des performances
Je comprend complètement le sens de la phrase (et franchement, que quelqu'un me parle de partenaire amoureu(x-se), ça ne me choque pas). Je ne vois juste pas comment l'utiliser en français.
Je ne sais pas trop comment le dire, mais cet article est aussi intéressant que troublant. Pas mal de frontières y sautent avec subtilité. Et la subtilité, c'est toujours bien.
L'art pose toujours des questions intéressantes. Et cette oeuvre, en plus d'être belle, est quand même assez troublante
Ca ressemble tellement à une vraie bonne définition du genre.
Non. En fait, non, vraiment pas. Surtout que c'est l'académie française qui a éliminé le premier terme
Le lien entre les groupes de metal (dont Manowar, ma référence) et la braguette médiévale est proprement stupéfiant
Je trouve très amusant ces compétitions de genre qui montre bien à quel point le genre est une performance qui peut être effectuée par n'importe quel genre.
Ca aide bien, je trouve, à comprendre les contraintes de genre dans l'espace public.
Un livre qui doit sans doute être un peu plus complexe que ces bonnes phrases.
cela dit, si un politicien proposait cette réforme, je voterai pour, sans hésiter.
C'est troublant de voir à quel point chaque outil est utilisé comme un moyen de diminuer les minorités.
Un article fascinant qui va détruire toutes ces scènes d'autopsie de cadavre si télégéniques.
Ca me fait le même effet (d'ailleurs le film Lego est très bien là-dessus : le eprsonnage féminin n'est PAS un faire-valoir)
Je ... suis ... confus.
Je ne suis pas dérangé par les aisselles, mais cet article produit une impression profondément dérangeante de vérité.
Chouette article.
Le style de Despentes me sort des yeux, mais le propos est très intéressant.
Et voilà, la théorie du genre, c'est juste ça. Pas de quoi en faire un drame, non ?
Lequel des deux est le plus obscène ? L'attribut sexuel secondaire ou l'inesthétisme du gras ? Vous noterez que, derrière la blague, se cache évidement la question lancinante du genre en tant que performance : l'homme peut se mettre topless, mais pas la femme ....
Très chouette façon de désintégrer le gender policing (qui se traduirait en français par ... la police du genre ?).
C'est là que se situe le coeur de ces fameuses gender studies, et pas dans la façon parfaitement débile de croire qu'il s'agit d'encourager l'homosexualité et autres fadaises.
Très bonne explication sur ce qu'est l'objet scientifique genre qu'étudient les sociologues (par opposition au croquemitaine que brandissent les politiciens et autres activistes du non-droit des gens à disposer d'eux-mêmes)
Je n'en reviens pas qu'il faille encore défendre les études scientifiques face à l'idéologie ... Il y a des années, j'aurais dit "Galilée doit se marrer", mais maintenant que je sais que c'était un peu un mec obtus, je ne dis plus ça, même si, sur le fond, je le pense.
J'adorerais essayer ça avec ma femme. Vraiment.
Une analyse extrêmement intéressante sur un ressort caché de l'homophobie : l'homme qui est l'objet de l'attention des gays se sent diminué, parce qu'il passe du rôle du prédateur à celui de la proie ...
Donc c'est le r"espect your body day" ? Je n'en savais rien. Ce que je savais déja, en revanche, c'est que ce blog est extrêmement intéressant sur toutes les questions sociologiques liées au corps, au sexe, au genre, et à toutes ces choses taboues en France.
C'est Maïa Mazaurette qui me l'a fait découvrir il y a bien longtemps, et je suis très heureux de cette découverte.
Les citations sont chouettes, et la question initiale l'est encore plus
Un article réellement fascinant sur l'intersexualité ... Le genre de truc (qu'encore imprégné des notions de sexe) que je n'aurai pas souhaité vivre, même si j'arrive à définir mon moi autrement que par mon sexe, ou mon genre, ou mon orientation, mais par moi (tautologique ? pas tant que ça).