10989 shaares
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Cette interview hallucinante (par l'autoritarisme et la volonté de mise au pas qu'elle montre) éclaire sous un nouvel angle la menace de définancement de la ligue des droits de l'homme : le but n'est pas seulement de faire taire une association critique, il est aussi de montrer à toutes les associations que le gouvernement les considère comme des éléments subversifs.
Ce genre de chose me fait toujours penser que Marine Le Pen, lorsqu'elle arrivera au pouvoir, n'aura pas grand chose à faire. L'état autoritaire est déjà là.